Conditionnez votre cerveau vers votre poids de santé avec la méthode S.U.P.E.R.
Posez votre objectif.
– Avoir une représentation mentale de votre objectif et du résultat et aussi des actions qu’il faudra mettre en place, être au clair avec le chemin à parcourir.
1) Les étapes à franchir.
2) Ce qui vous fera grandir et évoluer.
3) Ce qui rendra le chemin gratifiant, hormis le fait de perdre du poids comme la gestion des émotions, gagner confiance en soi, développer l’estime de soi…
– Franchir des petits pas, des petites actions, qui de bout en bout vous permettront de réaliser votre objectif.
S. POUR SPÉCIFIQUE
– Votre objectif doit être précis. S’il n’est pas spécifique, vous n’avez aucun engagement dans votre cerveau.
– Définissez avec précision ce que vous voulez !!
– C’est cela ce qui vous distinguera des 80 % des personnes qui ne savent ce qu’ils veulent.
– Il doit être établi dans le temps (date butoir).
Par exemple :
« Je veux perdre du poids » n’est pas spécifique, ce n’est pas un but précis mais une envie qui ne produit pas d’énergie.
En revanche, « Je veux rentrer dans mes anciens jeans de taille x d’ici 5 mois » est un objectif spécifique et clairement mesurable.
U. POUR UNIQUE
– Votre objectif doit dépendre de vous, et pas des autres, sans quoi vous n’aurez pas le contrôle nécessaire pour l’atteindre.
Par exemple :
« Je veux perdre du poids pour faire plaisir à mon conjoint ».
Perdre du poids pour faire plaisir à une personne (motivation extrinsèque) est voué à l’échec.
– Il faut une motivation personnelle, par exemple :
« Je veux perdre du poids, pour me sentir mieux dans ma peau ou pour avoir une meilleure santé ».
« Pour rester en bonne santé, car je sais que l’activité physique est essentielle pour rester en forme ».
« Pour pouvoir jouer avec mes enfants aussi souvent que possible ».
« Pour avoir un corps tonique et dynamique. »
« Pour me prouver que je peux le faire et être forte mentalement »
– C’est vous qui avez la responsabilité de votre objectif.
Vous êtes la 1re responsable de votre objectif sinon vous êtes dans un autre domaine que le challenge !!
Vous êtes responsable de vos échecs et de vos réussites.
Cette notion de non-responsabilisation, c’est vraiment la meilleure façon de vous auto saboter, si la responsabilité est ailleurs, vous perdrez immédiatement le pouvoir de changer les choses, c’est essentiel !!
P. POUR POSITIF
– Votre objectif doit être formulé de façon positive et non ce que vous voulez éviter ou fuir.
– Le cerveau répond facilement à deux phrases :
« Je décide, je choisis ».
Une fois que vous avez posé cette phrase et ce qui va derrière votre cerveau va observer les actions concrètes que vous allez poser.
En posant des actions avec ce que vous avez écrit, votre cerveau va dire, il y a un changement qui s’opère, on la soutien !
Si vous dites, je choisis et qu’il n’y pas d’action pour le cerveau, c’est juste un souhait !
E. POUR ÉCOLOGIE
– Est-ce ce que votre objectif respecte votre écologie ?
– L’atteinte de votre objectif vous apport quels gains ?
– Quelles pertes ?
– Être plus mince vous amène-t-il que des avantages ?
Vous pourriez penser que « oui, évidemment » !
Or parfois, notre inconscient réfléchit différemment, par exemple :
Faire du sport peut diminuer le temps disponible avec la famille.
Est-ce que votre objectif génère des conséquences négatives qui feraient que vous ne voudriez pas inconsciemment atteindre ?
Par exemple :
« Un mari jaloux, qui le devient encore plus par le fait que vous soyez plus mince, peut être un désavantage à atteindre votre objectif ».
R. POUR RECONNAISSABLE
– Atteindre votre objectif doit être reconnaissable et observable.
– Quand et comment savoir que vous aurez atteint votre objectif !?
– Par le résultat visuel ?
– Le ressenti dans votre corps ?
– Par une émotion ?
– Une récompense ?
Connectez-vous à vos valeurs, sans cela, ça ne pourra pas fonctionner.
Par exemple :
Vous pourrez voir que vous portez vos anciens jeans de taille x, quand la fermeture éclair sera montée et le bouton attaché.
Il est important d’écrire, et non taper à l’ordinateur. En écrivant, vous activez différentes zones du cerveau.
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